PONCIRUS TRIFOLIATA

ENGLISH

“On St Catherine’s Day, all wood takes root” (French saying)

Although St Catherine’s Day has already passed; it was on 25th November; this day is only the starting point for winter planting of bare root trees and shrubs (plants that have grown in the ground to make them more vigorous).

If you want to plant at this time, it is still advisable to make sure the weather is not too cold, it does not freeze and the soil is not too wet. In the vegetable garden, it would seem that planting fruit trees is a good idea, as well as small red fruit bushes such as blackcurrant, red currant or raspberry. You can also plant some aromatic herbs such as sage or thyme, rhubarb and vines.

Then you have to select the right place with the right soil and sunlight for the tree or shrub. Planting a tree which needs a well drained soil, in a wet substrate, even on Saint Catherine’s Day, will not be very successful.

Beyond the vegetable garden there are some trees for which it is the right time to take cuttings, such as willows, oaks or poplars.

Last year, a friend gave me some fruit that had been given to him by a third party who has a shrub in her neighbourhood that I understand is rather rare in our region.

I knew neither the fruit nor the shrub in question.

But after some research with the details I had been given, I found the poncirus trifoliata, also called the hardy orange. The shrub is rather decorative like the Japanese quince, but like the latter, it is possible to use its fruit to make jam.

https://www.gardenia.net/plant/poncirus-trifoliata-hardy-orange

The poncirus is a citrus fruit, hence its more common name of hardy orange. The fruit has the colour of a lemon, but is shaped and sized like a small clementine and tastes a bit like a grapefruit. The shrub, is covered in thorns.

My husband and I are big fans of citrus marmalade so it seemed logical to try this type of jam with my poncirus fruits. No sooner said than done and I was able to taste this marmalade which I found very pleasant, I would even say that I became a fan. A little detail about the poncirus fruit: it’s full of seeds. I kept a lot of them to sow to see if I could grow the shrubs.

Well, all my seeds grew and I ended up with lots of plants. I transplanted some in late spring into pots to grow them, but they didn’t like the summer and almost all died.

Since it’s the season, I’m going to try to plant some of the remaining plants directly into the ground to see if they will survive the winter. It seems that poncirus is the only citrus fruit that can withstand frost down to -15° C, so my plants should hold up as long as we don’t have a very hard winter. Nowadays with climate change, Sologne’s winters have become milder and it is very rare that the temperature drops below -10° C and it never lasts long. The ground rarely freezes, so my little plants should survive. They may have as much chance to do so in the ground as in their already too small planter.

I will plant the rest of them in the spring, in March as indicated on the websites which talk about this shrub.

FRANÇAIS

« À la Sainte Catherine, tout bois prend racine »

Bien que la St Catherine soit déjà passée ; c’était le 25 Novembre ; ce jour n’est que le point de départ des plantations hivernales des arbres et arbustes à racines nues (plants qui ont poussé en pleine terre pour les rendre plus vigoureux).

Si on veut planter à cette période, il est quand même conseillé de bien faire attention que le temps ne soit pas trop froid, qu’il ne gèle pas et que le sol ne soit pas trop humide. Au jardin potager, il semblerait que planter des arbres fruitiers soit une bonne idée, ainsi que les petits arbustes à fruits rouges comme les cassissiers, les groseilliers ou les framboisiers. On peut aussi planter quelques herbes aromatiques comme la sauge ou le thym, de la rhubarbe et de la vigne.

En suite il faut sélectionner le bon endroit avec le sol et l’ensoleillement recommandés pour l’arbre ou l’arbuste. Planter un arbre qui a besoin d’être dans un sol drainant, dans un sol à caractère humide, même à la Sainte Catherine, n’a que peu de chance de survivre.

Au delà du jardin potager il y a certains arbres pour lesquels c’est le bon moment pour faire des bouturages, comme les saules, les chênes ou les peupliers.

L’année dernière, un ami m’a donné des fruits qui lui avait été donné par une tierce personne qui a dans son voisinage un arbuste plutôt rare dans notre région d’après ce que j’ai compris.

Je ne connaissais ni les fruits, ni l’arbuste en question.

Mais après quelques recherches avec les détails qui m’avaient été donné, j’ai trouvé le poncirier, ou poncirus trifoliata, aussi appelé citronnier épineux. L’arbuste est plutôt décoratif comme le cognassier du Japon, mais tout comme ce dernier, il est possible d’utiliser ses fruits pour faire de la confiture.

http://nature.jardin.free.fr/arbuste/nmauric_poncirus_trifoliata.htm

Le poncirier est un agrume d’où son nom plus commun de citronnier épineux. Le fruit a la couleur de celle du citron, mais par contre il a la forme et la taille d’une petite clémentine et en ce qui concerne le goût, ça se rapproche un peu du pamplemousse. L’arbuste comme son nom le suggère est couvert d’épines.

Mon mari et moi sommes de grands fan de marmelades d’agrumes donc il me paraissait logique de tester ce type de confiture avec mes poncires. Sitôt dit, sitôt fait et j’ai pu déguster cette marmelade que j’ai trouvée très agréable, je dirais même que je suis devenue fan. Un petit détail avec les fruits du poncirier, ils sont remplis de pépins. J’en ai gardé plein pour les semer pour voir si je pouvais faire pousser les fameux arbustes.

Et bien tous mes pépins ont poussé et je me suis retrouvée avec beaucoup de plants. J’en ai transplanté à la fin du printemps, dans des pots, pour les faire grandir, mais ils n’ont pas aimé l’été et sont presque tous morts.

Vu que c’est la saison, je vais essayer de planter une partie des plants qui restent, direct dans le sol pour voir si ils survivront cet hiver. Il semblerait que le poncire est le seul agrume qui peut résister au gel jusqu’à -15°, donc mes plants devraient résister tant que nous n’avons pas un hiver très rude. De nos jours avec le changement climatique, les hivers solognots sont devenus plus doux et il est bien rare que la température descende en dessous de -10° et ça ne dure jamais longtemps. Le sol n’a que rarement l’occasion de geler, donc mes petits plants devraient subsister. Ils ont peut-être autant de chance de le faire dans le sol que dans leur jardinière qui est déjà bien trop petite pour eux.

Je planterai le reste de ces plants au printemps, au mois de mars comme c’est indiqué sur les sites qui parlent de cet arbuste.

ABOUT THE AUTHOR – À PROPOS DE L’AUTEUR

ENGLISH

A friend told me I should introduce myself, so here we go :

My name is Caroline.

I live in a nineteenth-century farmhouse in central France with my husband Rob and our cat Pixie. We also have chickens and rabbits. I am French and my husband is English. We met in Britain where I lived for 20 years.

Our small farmhouse is in the middle of the Sologne region in France, some 5 km from our village. The house was pretty derelict when we first moved in and my husband has been busy bringing it slowly to the 21st century. It used to belong to my father and my grandfather before him. My father who used to live in his farmhouse some 800 m away, farmed the land until 1997. Our house was mostly abandoned after my grandfather passed away in 1980. It became more and more derelict until we decided to move here in 2012. The land has now gone back to wilderness and a young forest is slowly growing in place of the old cultivated fields.

After school I moved to England where I did a few different jobs in sales mostly within the fashion industry. Back in France I went into teaching and translating English.

With a keen interest in the natural world, I have become a degrowth advocate and I love to promote gardening and everything linked to well-being in connection with nature.

This blog about the garden and our food production, is my part of the story in the La-Darnoire adventure.

FRANÇAIS

Une amie m’a dit que je devrais me présenter, alors voilà :

Je m’appelle Caroline.

Je vis dans une ferme du XIXe siècle dans le centre de la France avec mon mari Rob et notre chatte Pixie. Nous avons aussi des poules et des lapins. Je suis française et mon mari est anglais. Nous nous sommes rencontrés en Grande-Bretagne où j’ai vécu pendant 20 ans.

Notre petite ferme se trouve au milieu de la Sologne, en France, à environ 5 km de notre village. La maison était assez délabrée lorsque nous avons emménagé et mon mari s’est employé à la faire entrer lentement dans le XXIe siècle. Elle appartenait à mon père et à mon grand-père avant lui. Mon père, qui vivait dans sa ferme à 800 m de là, a cultivé la terre jusqu’en 1997. La maison a été en grande partie abandonnée après le décès de mon grand-père en 1980. Elle est devenue de plus en plus délabrée jusqu’à ce que nous décidions d’y emménager en 2012. La terre est maintenant redevenue sauvage et une jeune forêt pousse lentement à la place des anciens champs cultivés.

Après avoir terminé mes études, j’ai déménagé en Angleterre où j’ai occupé différents emplois dans la vente, principalement dans le secteur de la mode. De retour en France, j’ai commencé à enseigner l’anglais tout en faisant des traductions.

Ayant un intérêt marqué pour le monde naturel, je suis devenue un défenseur de la décroissance et j’aime promouvoir le jardinage et tout ce qui est lié au bien-être en lien avec la nature.

Ce blog sur le jardin et notre production alimentaire, est ma partie de l’histoire dans l’aventure de La-Darnoire.

2017 AND AFTER – 2017 ET APRÈS

ENGLISH

My story continues.

After the flooding of 2016, I reviewed my way of gardening and I started to change it. By doing so, I discovered some interesting points concerning some vegetables.

First of all, I didn’t stop ploughing the garden, but year after year, I reduced the usage of the tiller. I didn’t bother doing any ploughing until I needed to plant something, neither did I plough the whole garden in one go. I ploughed as I needed the land, bit by bit. While I needed a deeper ploughing for the potatoes and other root vegetables, I didn’t need to do it as deeply for other vegetables such as tomatoes, cabbages or beans.

I also decided to extend the garden and I added extra smaller patches which I ploughed once in 2017 and then I decided to build them up using permaculture. I added cardboard in winter when available, minced branches and sawdust, leaves and grass cuttings. I mostly use those spaces for squashes, but I also add some tomatoes when I have too many seedlings…

A poly-tunnel had been constructed in 2014 and I use it to grow seedlings, bell peppers, chillis and some tomatoes. As time went by, it became more exclusively the home of the peppers which I still grow there these days with some really good results. However my crop is collected fairly late in the season, right up to October. I plant just a few tomatoes with the peppers to have some early fruits, but the harvest is poor and no matter what I do, I find that tomatoes grown in the tunnel are not as tasty as the ones grown outside.

Peppers – Poivrons

The tunnel was replaced in 2021 as it was getting old and the plastic started to tear.

In the main garden I still do rows of potatoes, but more than I used to do up until 2016, just in case there was another natural disaster… The extra stock is shared with friends and neighbours. It is a very good crop for bartering. Who does not like potatoes!?

I have tried to protect the ground of the potatoes with some mulching, principally with straw and while it does help to prevent evaporation I have found that simply leaving grass and weeds to grow within the rows after having earthed up the plants is actually a good way to keep the ground from drying up too quickly. Also I find that taller grasses stop the potato plants falling over in the wind too much when they are fully grown. I have not put any Bordeaux mixture since 2014 and even in 2021 while we had a colder and wetter spring/summer, I didn’t find that my potatoes were so sick. Some got a bit of blight, but nothing much and it didn’t stop me from harvesting a descent crop.

Potatoes with straw mulch – Pommes de terre avec paillage

As for tomatoes, I still tie them to poles and I put a good mulch of grass cuttings around each plant. It helps to keep the roots warm initially and it keeps the lower leaves from touching the ground. Also, if it rains heavily, it stops splashes of soil on the leaves which can trigger diseases. I leave some weeds to grow around the plants once they are well established but I keep them trim-ish. I tie-up the tomatoes only a couple of times and then I let them get on with it. I never remove any extra shoots as I don’t see the point to do so any-more. The fact is, you end up creating wounds on the plants and this is where diseases will start if the weather is cold or damp. I have also discovered that keeping all the leaves on the plants helps to protect the fruits when the sun is way too strong. I have tested this during the heat-waves we had in 2019 and 2020. Many people lost tomatoes due to sunburn during those two years while I barely lost any.

Tomatoes – Tomates

However, in 2021, the weather was so miserable with cold spells and too much rain in the summer that all my tomatoes died without ever producing any fruits. Would I have saved some if I had put some Bordeaux mixture? Maybe, maybe not. Tomatoes love the sun and dry weather and that is the way it is.

Growing vegetables while leaving weeds growing with them is not always simple and needs adjusting based on the vegetables themselves.

I found that all seedlings need to be protected from weeds as the later grow way faster than the vegetables. But once the young vegetables are established, they will fight their corner and the weeds will not really hinder them that much.

Where weeds are not welcome at all until the end of growth is with onions, shallots or garlic. Those guys need room to grow and they tend to stop growing if they have to fight for space.

Then as far as the weeds themselves are concerned, it is always better to let some of the ground covering ones do what they do best as they will protect the ground way more than grasses which are only taking a small space horizontally, but a bigger one vertically with a dense root system which squeezes everything else out of the way. No matter what, the grasses and weeds are very useful to protect the ground from over-heating and loosing water too quickly. They also help collecting dew in the night which gives a micro watering to the vegetables.

FRANÇAIS

Mon histoire continue.

Après les inondations de 2016, j’ai revu ma façon de jardiner et j’ai commencé à changer de méthode. En faisant cela, j’ai découvert quelques points intéressants concernant certains légumes.

Tout d’abord, je n’ai pas arrêté de labourer le jardin, mais année après année, j’ai réduit l’utilisation du motoculteur. Je n’ai pas pris la peine de labourer avant d’avoir besoin de planter quelque chose, ni de labourer tout le jardin en une seule fois. Je laboure au fur et à mesure que j’ai besoin de la terre, petit à petit. Si j’ai besoin d’un labour plus profond pour les pommes de terre et autres légumes racines, je n’ai pas besoin de le faire aussi profondément pour d’autres légumes comme les tomates, les choux ou les haricots.

J’ai également décidé d’agrandir le jardin et j’ai ajouté des parcelles supplémentaires plus petites que j’ai labourées une fois en 2017, puis j’ai décidé de les travailler en faisant de la permaculture. J’ai ajouté du carton en hiver quand j’en avais, des branchages broyés et de la sciure de bois, des feuilles et de l’herbe de tonte. J’utilise surtout ces espaces pour les cucurbitacées, mais j’y ajoute aussi des tomates lorsque j’ai trop de plants….

Pumkins – Citrouilles

Un poly-tunnel avait été construit en 2014 et je l’utilisait d’abord pour faire pousser des semis, des poivrons, des piments et quelques tomates. Au fil du temps, il est devenu plus exclusivement le foyer des poivrons que j’y cultive encore aujourd’hui avec de très bons résultats. Cependant, ma récolte se fait assez tard dans la saison, jusqu’en octobre. Je plante juste quelques tomates avec les poivrons pour avoir une poignée de fruits précoces, mais la récolte n’est jamais extraordinaire et quoi que je fasse, je trouve que les tomates cultivées dans le tunnel ne sont pas aussi savoureuses que celles cultivées à l’extérieur.

Le tunnel a été remplacé en 2021 car il devenait vieux et le plastique commençait à se déchirer.

Dans le jardin principal, je fais toujours des rangées de pommes de terre, mais plus que ce que je faisais jusqu’en 2016, juste au cas où il y aurait une autre catastrophe naturelle… Le stock supplémentaire est partagé avec les amis et les voisins. C’est une très bonne culture pour le troc. Qui n’aime pas les pommes de terre ?!

Potatoes – Pommes de terre

J’ai essayé de protéger le sol des pommes de terre avec un paillage, principalement à base de paille et bien que cela aide à prévenir l’évaporation, j’ai constaté que le fait de laisser pousser l’herbe et les mauvaises herbes dans les rangées après avoir butté les pommes de terre est en fait un bon moyen d’empêcher le sol de s’assécher trop rapidement. Je trouve aussi que les herbes plus hautes empêchent les plants de pommes de terre de se renverser sous l’effet du vent lorsqu’ils sont complètement développés. Je n’ai pas mis de bouillie bordelaise depuis 2014 et même en 2021, alors que nous avons eu un printemps et un été plus froid et plus humide, je n’ai pas trouvé que mes pommes de terre avaient été si malades. Certaines ont eu du mildiou, mais rien de bien grave et cela ne m’a pas empêché de faire une bonne récolte.

En ce qui concerne les tomates, je les attache toujours à des pieux et je mets un bon paillage de tontes d’herbe autour de chaque plante. Cela aide à garder les racines au chaud au départ et cela empêche les feuilles inférieures de toucher le sol. De plus, s’il pleut beaucoup, cela empêche les éclaboussures de terre sur les feuilles qui peuvent déclencher des maladies. Je laisse pousser un peu de mauvaises herbes autour des plantes une fois qu’elles sont bien établies, mais j’essaye de contrôler un peu la hauteur de ces mauvaises herbes. Je n’attache les tomates qu’une ou deux fois, puis je les laisse se débrouiller. Je n’enlève jamais plus les gourmands car je n’en vois plus l’utilité. Le fait est que cette action crée des plaies sur les plantes et c’est là que les maladies se développent si le temps est froid ou humide. J’ai découvert aussi qu’en laissant les feuilles sur les plantes cela protège les fruits lorsque le soleil est beaucoup trop fort. J’ai pu testé cette idée durant les canicules que nous avons eues en 2019 et 2020. De nombreuses personnes ont perdu des tomates à cause de brûlures dues au soleil pendant ces deux années alors que je n’en ai pratiquement pas perdu.

Cependant, en 2021, le temps était si misérable avec des vagues de froid et trop de pluie en été que toutes mes tomates sont mortes sans jamais produire de fruits. Aurais-je pu en sauver si j’avais mis de la bouillie bordelaise ? Peut-être, peut-être pas. Les tomates aiment le soleil et le temps sec et c’est comme ça.

Cultiver des légumes tout en laissant les mauvaises herbes pousser avec eux n’est pas toujours simple et doit être adapté en fonction des légumes eux-mêmes.

J’ai constaté que tous les semis ont besoin d’être protégés des mauvaises herbes car ces dernières poussent beaucoup plus vite que les légumes. Mais une fois que les jeunes légumes sont établis, ils vont bien se défendre et les mauvaises herbes ne les gêneront pas tant que ça.

Les oignons, les échalotes et l’ail ne supportent pas les mauvaises herbes du tout. Ces plantes ont besoin d’espace pour pousser et elles ont tendance à arrêter de pousser si elles doivent se battre pour leur espace.

Onions, garlic and peas – Oignons, ail et petits pois

En ce qui concerne les mauvaises herbes elles-mêmes, il est toujours préférable de laisser les plantes couvrantes faire ce qu’elles font le mieux, car elles protègent le sol bien plus que les herbes qui ne prennent qu’un petit espace horizontalement, mais un plus grand verticalement, avec un système racinaire dense qui étouffe tout le reste. L’herbe et les mauvaises herbes sont malgré tout très utiles pour protéger le sol contre la surchauffe et l’évaporation d’eau trop rapide. Elles aident également à recueillir la rosée pendant la nuit, ce qui permet un micro-arrosage des légumes.