HUGELKULTUR

ENGLISH

Winter is the time to prepare the garden for next season.

Without going to extremes, I like to plan a few things for my garden, including methods that I have not yet used.

For next year, I had a great desire to start some hugelkultur which is a type of no-dig raised bed.

The term hugelkultur is a German word that simply means mound or hill cultivation. The technique is said to have existed in Eastern European countries for centuries, but it was an Austrian, Sepp Holzer, a specialist in natural agriculture and permaculture, who developed the method in the 1960s. Paul Weathon, an American permaculture author and Holzer’s disciple, helped develop the popularity of the method in many Anglo-Saxon countries.

Today, Hugelkultur is being adopted by more and more gardeners who are happy with the results it brings. But there are also a number of detractors who believe that the method is not valid.

It is true that the place where you live and the type of soil you work with have a very important influence on the construction of this self-fertilising mound.

Generally, these mounds do not work so well in the driest regions such as the south of France. But there are exceptions.

They are constructed with dead wood, branches, grass clippings , manure (if you have some), compost, etc, covered with soil. You can even put seaweeds in them for those who live near the sea. Over time this will create the fertilizer needed for the crops that will be grown on the mound.

The fact is that there is a lot of dead wood on the property around the garden. I thought that the forest wouldn’t mind if I cleaned up a bit and stole some of the small fallen rotten tree trunks to make my mound. I have to say that we have young birches that tend to make a great game of “pick-up-sticks” as soon as there is a bit of wind. And then my husband had to cut up a rather large aspen that had fallen on the communal road, but which was already quite rotten and no longer suitable for firewood.

So here we are, we brought the pieces of aspen, I got some pieces of birch and I started to build my hugel bed.

I realise that I’m going to need a lot more wood, but that’s okay because I still have fallen birch trees that are just waiting to be collected and I have the entire winter to build my mound.

But why would I want to make a mound given the work involved and why do it in winter?

I’m going to use elements which are all around the wider garden, and I know that self-fertilising mound cultivation minimises watering because the wood in the mound, acting as a sponge when it rains enough, retains the moisture. I have already tried to do a type of hugelkultur by putting dead wood with my compost in old barrels where I planted strawberries. They definitely need less watering than those planted directly in the garden. As we are likely to have more and more droughts in the next few years, it seems like a good idea to try hugelkultur, just to save water.

And the mound should attract lots of insects which will enjoy nibbling the organic matter it contains, increasing the biodiversity of the garden.

Then winter is a quieter time for gardeners, so I have time to build my mound without rushing. I also want to take advantage of this period, which is more damp (especially in Sologne), so that the wood of my mound can absorb water as I build it.

As I mentioned earlier, I have everything I need to make the bed, so why not try it?

And then, if I manage to make a mound high enough, it means I will not have to bend down so much to tend the plants, a good thing for my back…

Beware, self-fertilizing mounds is a method that is based on the decomposition of organic matter over the long term, so if you want to try this method, don’t think that you will have a really productive mound during the first few years of its installation.

Also, before you start building a mound, especially if it is high enough (large ones can be made up to 6 feet high), it is imperative to understand that the landscape will be transformed by its placement. It risks blocking the view and it is therefore preferable to put it where it will not be a nuisance. And then you have to study its orientation…

What if it doesn’t work?

Well, I will still have taken advantage of the physical exercise in the garden at a time when we are often in great need of inspiration to do something outside, in connection with nature.

FRANÇAIS

L’hiver, c’est le moment de préparer le jardin pour l’année suivante.

Sans virer dans l’extrême, j’aime bien planifier quelques éléments pour mon jardin, ce qui inclus des méthodes que je n’ai pas encore utilisées.

Pour l’année prochaine, j’avais une grosse envie de me lancer à faire de l’hugelkultur – en français, de la culture sur butte autofertile.

Le terme hugelkultur est un mot allemand qui veut tout simplement dire culture en monticule ou en butte. Cette technique aurait existé dans les pays de l’Est de l’Europe depuis des siècles, mais c’est un autrichien, Sepp Holzer, spécialiste en agriculture naturelle et en permaculture qui, dans les années 1960, a développé la méthode. Paul Weathon un américain, auteur en permaculture et disciple de Holzer a aidé à développer la popularité de la méthode dans de nombreux pays anglo-saxons.

Aujourd’hui l’hugelkultur est adoptée par de plus en plus de jardiniers qui sont satisfaits des résultats qu’elle apporte. Mais il existe aussi une quantité indéniable de détracteurs qui jugent que la méthode n’est pas valable.

Il est vrai que l’endroit ou on vit et le type de sol avec lequel on va travailler ont une influence des plus importante dans la construction d’une butte autofertile.

Généralement, ces buttes ne fonctionnent pas si bien, dans les régions les plus secs comme le sud de la France par exemple. Mais il y a quand même des exceptions.

Elles sont construites avec du bois morts, des branchages, de l’herbe, du fumier (si on en a), du compost, etc, recouverts de terre. On peut même y mettre des algues pour ceux qui habitent près de la mer. Avec le temps cela créera l’engrais nécessaire pour les cultures qui seront faites sur la butte.

Le fait est que j’ai beaucoup d’espace dans mon jardin et qu’il y a tout un paquet de bois mort sur la propriété autour du jardin. Je me suis dit que la forêt ne m’en voudrait pas trop si je faisais un peu de ménage et que je lui piquais quelques petits troncs morts déjà un peu pourris pour construire ma butte. Il faut dire que nous avons de jeunes bouleaux qui ont tendance à faire un grand jeu de mikados dès qu’il y a un peu de vent. Et puis mon mari a dû découper un tremble assez gros qui était tombé sur le chemin communale, mais qui étant déjà bien pourri, n’était plus bon pour faire du bois de chauffage.

Alors voila, on a amené les morceaux de tremble, j’ai récupéré des bouts de bouleau tout aussi endommagé que le tremble et j’ai attaqué la construction de ma butte.

Je me rend compte qu’il va me falloir bien plus de bois, mais ce n’est pas grave car j’ai encore des bouleaux qui ne demandent qu’a être récoltés et j’ai tout l’hiver pour monter la chose.

Mais pourquoi vouloir faire une butte vu le travail que ça demande et pourquoi la faire en hiver ?

Je vais utiliser les matériaux qui sont tout autour de mon jardin, et je sais que la culture sur butte autofertile minimise l’arrosage car le bois dans la butte, agissant comme une éponge quand il pleut suffisamment, garde l’humidité. J’ai d’ailleurs déjà essayé de faire un type de hugelkultur en mettant du bois mort avec mon compost, dans de vieux barils ou j’ai planté des fraisiers. Ils ont définitivement besoin de moins d’arrosage que ceux plantés directement dans le jardin. Vu que nous devrions avoir de plus en plus de sécheresses dans les années a venir, essayer la culture sur butte, rien que pour économiser de l’eau, me semble une bonne idée.

Et puis la butte devrait attirer plein d’insectes qui vont pouvoir se délecter des matériaux qu’elle va contenir, augmentant la biodiversité du jardin.

En suite l’hiver est un moment plus calme pour les jardiniers, donc j’ai le temps de construire ma butte sans me presser. Je veux aussi profiter de cette période, plus humide (surtout en Sologne) pour que le bois de ma butte se gorge d’eau alors que je la construis.

Comme je l’ai indiqué précédemment, j’ai tout ce qu’il faut pour faire ce type de jardinage, donc pourquoi ne pas essayer ?

Et puis, si j’arrive à faire une butte assez haute, je n’aurai pas à me baisser autant pour m’occuper de mes plantations, une bonne chose pour mon dos…

Attention, la culture sur butte autofertile est une méthode qui est basée sur la décomposition des matières à très long terme, donc si vous voulez essayer cette méthode, ne pensez pas que vous allez avoir une butte vraiment productive les premières années de son installation.

De plus avant de se lancer dans la construction d’une butte, surtout si elle est assez haute (on peut en faire des grosses qui font jusqu’à 1m80 de haut), il est impératif de comprendre que le paysage sera transformé par son implantation. Elle risque de bloquer la vue et il est donc préférable de la mettre là où elle ne sera pas gênante. Et puis il faut étudier son orientation…

Et si ça ne fonctionnait pas ?


Et bien j’aurai quand même profité de l’exercice physique au jardin à une période où on a souvent un gros besoin d’inspiration pour faire quelques chose en extérieur, en lien avec la nature.

2022 – THE END – LA FIN

Forsythia
Elder – Sureau

ENGLISH

Only a few more hours and 2022 will be over.

While we have surely reached crazy temperatures today, I went for a walk in the garden, something I hadn’t done since the frosty period as it was followed by a bout of flu which started just before the holidays.

Was I comatose or did I just hibernate?

It seems that spring has arrived!

What I saw left like a stab in the stomach. My reaction was very strong and I am not happy at the moment.

There is nothing normal about seeing forsythia or Japanese quince with buds and the beginnings of flowers. The hazelnut trees are in flower. The elder is starting to produce leaves…

I don’t know what to wish for any more at the end of this year.

I hope that nature has a resilience that we have not yet seen.

For us, I hope that the masses will not wake up too late.

To all those who are already making great efforts, I hope that we can continue to support life around us, that others will join us. But I believe that it will not be without pain.

So I wish us all courage.

Japanese Quince – Cognassier du Japon

FRANÇAIS

Plus que quelques heures et 2022 sera finie.

Alors que nous avons sûrement atteint des températures complètement folles en ce jour, j’ai fait un tour de jardin, ce que je n’avais pas fait depuis la période de gel qui a été suivie d’une bonne petite grippe entamée juste avant les fêtes.

Ai-je comaté ou ai-je carrément hiberné ?

Il semblerait que le printemps est arrivé !

Ce que j’ai vu m’a donné comme un coup de poignard. Ma réaction a été très forte et je ne suis pas très joyeuse pour le moment.

Il n’y a rien de normal à voir les forsythias ou les cognassiers du Japon avec leurs bourgeons et des débuts de fleurs. Les noisetiers sont en fleurs. Le sureau commence à produire des feuilles…

Je ne sais plus quoi souhaiter en cette fin d’année.

J’espère que la nature a une résilience que nous ne lui avons pas encore vue.

Pour nous, j’espère que la masse ne se réveillera pas trop tard.

À tous ceux qui font déjà de gros efforts, j’espère que nous pourrons continuer à supporter la vie autour de nous, que d’autres nous rejoindrons. Mais je crois que ça ne se fera pas sans douleurs.

Je nous souhaite donc bien du courage.

Hazel tree – Noisetier

BARLEY IN MY GARDEN – DE L’ORGE DANS MON JARDIN

ENGLISH

I am taking advantage of the quieter season in the garden to look back on a year of gardening.

But first, I want to go back to a culinary experience that concluded an adventure that started 3 years earlier. All this to say that you never know where the garden can lead you, and what it can bring:

Because happiness is not just something to talk about, it has to be practised.

I did something this year which gave me great satisfaction while linking degrowth and resilience.

Three years ago I put some straw in my garden to protect my potatoes from the heat and to save water. I must admit that with the two small heat waves of 2019, it was a good idea. I had no plans to follow up on this story, except to use more straw in 2020.

I do a lot of experimenting in my garden and I like to let life decide some things for me. I wasn’t really surprised to see that my straw mulch, which had been left untouched over the winter, had decided to start growing… The birds had not eaten all the seeds that were in the straw I had used, and here and there some seedlings had appeared. I decided to let them get on with it to see what would happen.

Later, I planted my squashes in the middle of this micro field. This little world seemed to get along well and my grain matured quietly with the courgettes, pumpkins, butternuts, etc. I was keen to harvest this crop, which I did with secateurs (!). I put the ears of barley in a large barrel and I more or less forgot about them until the autumn of 2021.

With a home-made micro thresher constructed with an electric drill and a chain (it’s amazing the tutorials you can find on Youtube!) my husband managed to separate the grains from the ears. And then the grain was winnowed with another home-made device and we ended up with 12kg of barley.

What to do with this barley? The temptation to make bread was great. Thanks to my passion for history, I know that the Egyptians used to make barley bread so I looked for an old Egyptian bread recipe, without wheat and with honey. We already have a machine to crush the grain into coarse flour so it was easy to do this part. The honey came from my neighbours.

I finally made the bread this year in January, and we thought it was pretty good.

Making bread like Egyptians… What an adventure! Making your own bread with your own grain, frankly anyone who lives in the countryside and is into degrowth should try it. What an experience! What a pleasure!

After making the bread, we sowed some of the remaining seeds in the spring in a newly ploughed corner of the garden. But with little rain this year, it did not produce much, less then when it grew from the straw mulch… My husband tried to make some malt for a future home brewed beer and that worked much better. He actually produced a very drinkable Blond Ale which we found very refreshing on the hot summer’s evenings. There was still enough grain left to make some bread again, which I did recently, improving the recipe this time. We also sowed more seeds before the onset of winter (as we are not sure whether our barley is a winter or spring type), but so far it has not proven very successful. We still have some to try again in the spring next year.

Who could have imagined what we would do with a handful of grain from a simple mulch!

My fellow gardeners, I hope you experiment as much as possible with your gardens. Who knows where your experiments will take you, and what satisfaction you will get from them.

For those who have access to barley and are tempted, here is the recipe for the bread:

EGYPTIAN BARLEY BREAD

INGREDIENTS

– 2 teaspoons yeast (6 gr)

– 1 cup warm water (250 ml)

– 2 tablespoons honey (40 gr)

– 1 1⁄2 teaspoon salt (10 gr)

– 1 egg, lightly beaten

– 3 tablespoons oil (45 ml) (any other fat can be used including lard)

– 4 cups barley flour (550 gr)

DIRECTIONS

– Combine yeast, water and honey and let stand for 5 minutes.

– Add salt, eggs and oil.

– Stir in flour and mix until dough is manageable.

– Place the dough on a lightly floured surface and knead for a few minutes.

– Place in a large greased bowl, turning to coat.

– Cover with a towel and let rest in a warm place for a minimum of 90 minutes, up to 2 hours.

– The dough will rise slightly, but will NOT double.

– Turn the dough out onto a lightly floured surface and knead it again.

– Shape it into a round cake about 1”/2.5 cm thick.

– Place it on a lightly greased baking sheet.

– Cover with a towel and let rest for at least an hour, up to 90 min.

– Preheat oven to 425°F (220°C).

– Bake for 15 to 20 minutes, or until light brown and hollow when tapped.

– Cool on a wire rack.

This bread can also be done with a bread machine on the wholewheat bread program.

FRANÇAIS

Je profite de la saison plus calme au jardin pour revenir sur une année de jardinage.

Mais avant, je veux revenir sur une expérience culinaire qui a conclu une aventure commencée 3 ans plus tôt. Tout cela pour dire qu’on ne sait jamais où le jardin peut nous mener, et ce qu’il peut nous apporter :

Par ce que le bonheur il ne suffit pas d’en parler, ça se pratique.

J’ai fait un truc cette année qui m’a donné beaucoup de satisfaction en liant jardinage, décroissance et résilience.

Il y a de cela 3 ans j’avais fait du paillage dans mon jardin pour protéger mes pommes de terre des fortes chaleurs et pour économiser l’eau. J’avoue qu’avec les deux petites canicules de 2019, ce fut une bonne idée. Je n’avais pas prévu de suite à cette histoire, à part refaire plus de paillage en 2020.

Je fais des tas d’expériences dans mon potager et j’aime bien laisser la vie décider de certaines choses à ma place. Je ne fus pas vraiment surprise de voir que mon paillage qui avaient été laissé à l’abandon pendant l’hiver avait décidé de se mettre à pousser… Les oiseaux n’avaient pas picoré toutes les graines qui étaient dans la paille que j’avais utilisée. Ici et là des touffes de grains apparaissaient. J’ai décidé de les laisser faire pour voir ce qui allait se développer.

Plus tard, j’ai planté mes cucurbitacées au milieu de ce micro champ. Tout ce petit monde semble s’être bien entendu et mon grain a mûri tranquillement avec les courgettes, les pâtissons, les butternuts, etc. Je voulais absolument récolter ce grain, ce que j’ai fait au sécateur (!), j’ai mis les épis (de l’orge) dans un grand baril que j’ai plus ou moins oublié jusqu’à l’automne 2021.

C’est avec une micro batteuse fabriquée maison à partir d’une perceuse électrique et d’une chaîne (c’est fou les tutos qu’on peut trouver sur Youtube!) que mon mari a réussi à séparer les grains des épis. Et puis ce grain a été vanné avec un autre appareil fait maison et nous nous sommes quand même retrouvé avec 12kg d’orge.

Que faire de cette orge ? La tentation de faire du pain était grande. Grace à ma passion pour l’histoire, je sais que les égyptiens faisaient du pain avec de l’orge alors j’ai cherché une vieille recette de pain égyptien, sans blé avec du miel. On a déjà une machine pour écraser le grain en farine grossière donc ce fut facile de faire cette partie. Le miel provient de mes voisins.

J’ai finalement fait le pain cette année au mois de janvier et nous l’avons trouvé bien bon.

Faire du pain comme des égyptiens… Quelle aventure ! Faire son propre pain avec son propre grain, franchement toute personne décroissante vivant à la campagne devrait essayer. Quelle expérience ! Quel plaisir !

Après avoir fait le pain, nous avons semé une partie du grain restant au printemps dans un coin du jardin nouvellement labouré. Mais avec peu de pluie cette année, il n’a pas produit grand-chose, moins que lorsqu’il avait poussé à partir du paillage… Mon mari a essayé de faire du malt pour une future bière artisanale et cela a beaucoup mieux fonctionné. Il a produit une bière blonde très agréable à boire, que nous avons trouvée très rafraîchissante pendant les chaudes soirées d’été. Il restait encore assez de grain pour refaire du pain, ce que j’ai fait récemment, en améliorant la recette. Nous avons également resemé du grain avant l’arrivée de l’hiver (car nous n’étions pas sûrs que notre orge était une orge d’hiver ou de printemps), mais jusqu’à présent, cela n’a pas été un grand succès. Nous en avons encore pour réessayer au printemps de l’année prochaine.

Qui aurait pu imaginer ce que nous allions faire grâce à une poignée de grain issue d’un simple paillage !

Amis jardiniers, je vous souhaite d’expérimenter le plus possible avec vos jardins. Qui sait ou vos expériences vous mèneront, et quelle satisfaction vous en tirerez.

Pour ceux qui aurait accès à de l’orge et qui seraient tentés, voici la recette du pain :

PAIN D’ORGE ÉGYPTIEN

INGRÉDIENTS

– 2 cuillères à café de levure à pain (6 gr)

– 1 tasse d’eau tiède (250 ml)

– 2 cuillères à soupe de miel (40 ml)

– 1 1⁄2 cuillère à café de sel (10 gr)

– 1 œuf, légèrement battu

– 3 cuillères à soupe d’huile (45 ml) (toute autre matière grasse peut être utilisée, ce qui inclus de la graisse animale)

– 4 tasses de farine d’orge (550 gr)

DIRECTIONS

– Mélanger la levure, l’eau et le miel, et laisser reposer 5 minutes.

– Ajouter le sel, les œufs et l’huile.

– Incorporer la farine et mélanger jusqu’à ce que la pâte soit maniable.

– Déposer la pâte sur une surface légèrement enfarinée et la pétrir pendant quelques minutes.

– Placez-la dans un grand bol graissé, en la retournant pour l’enrober.

– Couvrir d’une serviette et laisser reposer dans un endroit chaud pendant un minimum de 90 min à 2 heures.

– La pâte va s’élever légèrement, mais ne va PAS doubler.

– Retournez la pâte sur une surface légèrement farinée et pétrissez-la à nouveau.

– Façonnez un gâteau rond d’environ 2,5 cm d’épaisseur.

– Placez-la sur une plaque à pâtisserie légèrement graissée.

– Couvrir d’une serviette et laisser reposer pendant minimum une heure, jusqu’à 90 min.

– Préchauffer le four à 425°F.

– Faire cuire de 15 à 20 minutes, ou jusqu’à ce que le pain soit brun pâle et qu’il sonne creux lorsqu’on le frappe.

– Laisser refroidir sur une grille.

Ce pain peut aussi être fait dans une machine à pain avec le programme pour un pain complet.