HUGLEKULTUR PART 2 – PARTIE NO. 2

ENGLISH

About 7/8 months ago, I started making a self-fertilising mound also known as huglekultur.

I had all the ‘ingredients’ around me to build it: dead wood, branches, wood shavings and grass and leaf mulch.

I took my time building it.

Thanks to this construction, I was able to get some exercise outdoors all through the winter, whenever I could.

It’s finally finished.

But I’m not sure I’ll be using it this year.

Why not?

Well, it is very dry and the mound is brand new. I don’t think it’s had time to replenish its moisture content, bearing in mind that we’ve had a fairly dry winter and a dry-ish spring. What’s more, we are currently experiencing the flash drought which is happening in the Northern half of France.

At the same time, I’m not too advanced with my garden, so I can still decide to plant something in it…

On the other hand, a potato that I forgot to pick last year has grown at the base of the construction. I’ve never watered it and it’s looking much better than the others I planted in the garden from the end of March onward. I’ve had to water them while keeping my fingers crossed for rain soon.

Disappointed?

No.

Huglekultur is not a matter of speed, it’s a story that will evolve over time.

I have plenty of space in my garden to experiment with things that don’t have to come to fruition quickly.

One of the ideas for the world of after is to slow down.

This self-fertilising mound, before being a place that I’m going to use to produce food, is above all a desire to take life more slowly and even to accept that life has to move more slowly.

When I studied this type of cultivation, I took into account the fact that it can take three whole years before it’s really productive. This type of no-dig raised bed can then last for many years. By adding mulch regularly on top, it will continue to produce for a long time.

In short, “We have all the time in the world”.

FRANÇAIS

Il y a de cela 7/8 mois environ, j’ai commencé à fabriquer une butte autofertile aussi connue comme huglekultur.

J’avais tous les « ingrédients » tout autour de chez moi pour la construire ; du bois mort, des branchages, des copeaux de bois et du paillage d’herbe et de feuilles.

J’ai pris mon temps pour la faire.

Grâce à cette construction, j’ai fait un peu d’exercice tout l’hiver en extérieur, dés que je le pouvais.

Elle est finalement finie.

Mais je ne suis pas sûre de l’utiliser cette année.

Pourquoi ?

Et bien il fait très sec et la butte est toute neuve. Je ne pense pas qu’elle ait eu le temps de faire le plein d’humidité, sachant que nous avons eu un hiver plutôt sec, de même pour le printemps. En plus, nous subissons actuellement la sécheresse éclair, installée sur la partie nord de la France.

En même temps, je ne suis pas en avance avec mon jardin, donc je peux encore décider d’y planter quelques chose…

Par contre une patate que j’ai oublié de ramasser l’année dernière a poussé au pied de la construction. Je ne l’ai jamais arrosée et elle a l’air en bien meilleure forme que les autres que j’ai plantées dans le jardin dés le mois mars. J’ai d’ailleurs dû les arroser tout en croisant les doigts pour qu’il pleuve bientôt.

Déçue ?

Non.

La huglekultur, ce n’est pas une affaire de rapidité, c’est une histoire qui va évoluer dans le temps.

J’ai beaucoup d’espace dans mon jardin pour me permettre de faire des expériences qui n’ont pas besoin d’aboutir rapidement.

Une des idées du monde d’après, c’est de ralentir.

Cette butte, avant d’être un endroit que je vais utiliser pour produire de la nourriture, c’est avant tout une volonté de prendre la vie plus lentement et même d’accepter que la vie doit avancer plus lentement.

Quand j’ai étudié ce type de culture, j’ai pris en compte le fait que ça peut déjà prendre trois années entières avant d’être vraiment productif. Une butte autofertile peut en suite perdurer pendant de longues années. En rajoutant du paillage régulièrement, elle continuera à produire longtemps.

Bref, « We have all the time in the world »

RISKS OF FROST – RISQUES DE GEL

ENGLISH:

With gardening, as with everything else, you can take “risks” and you can make mistakes.

One of the most common mistakes is to want to start too early, to sow and plant as soon as the sun starts warming the soil, while it is still possible to have some frost.

So if you are in a hurry to start gardening, try to restrict yourself to sowing or planting what is not likely to freeze or what can be protected during a period when the temperature can still drop below zero degree C.

Personally, I sow peas in February because they do not suffer from frost and I plant garlic and onions afterwards.

I have a friend who does all this in January and another one who plants her garlics before winter, before the cold weather arrives.

About the autumn planted garlic, they are harvested at the same time as the late winter planted ones; in June/July. From what I’ve read, they are bigger, but they don’t keep as long as those planted later.

While waiting to work outdoors, you can always start sowing in trays or pots as early as February, so that you are ready to plant as soon as frost is no longer a threat. But be careful not to start too early either, as the young plants may become a little too cramped in their pots…

Let’s get back to the outdoor garden. I always plant my first potatoes around 19th March, the date of St Joseph’s Day in France (an old custom), so that I can enjoy them in June. Of course, the risk of frost as soon as some of their young leaves come out of the ground is always very real. I have sometimes grown these potatoes under a plastic tunnel, but in recent years I have decided not to cover them any more. I just push some soil back around them after the first leaves have appeared. And it’s all right if there is a light frost, but I mustn’t forget.

I have to keep an eye on the weather forecast every day so I don’t get caught out by a frost.

This year I forgot and some potatoes froze a bit on Thursday 27th April.

Is that a problem?

Yes and no. The potatoes that suffered from the frost will grow leaves again, but they will lose time and they should be less productive. But now, if I’m more careful, they should start to grow again and finally produce their tubers at the same time as those planted later…

But I should keep an eye on them at least until about the 15th of May.

From 23rd April to 13th May, all gardeners know to watch out for the Ice Saints. If it is clear in the evening, there may still be some frost at night at this time of year. This generally applies to anyone who is not by the sea or in the south of the country in France.

Whether traditional or not, the Ice Saints mark some days during a period of the year, from late April to early May, when there is a definite risk of frost. The atmosphere is often still cool, the ground is not yet warm enough and if the sky is clear in the evening, it is still possible to have a frost peak during the night.

I will certainly never plant any tomatoes or peppers outside before mid May.

FRANÇAIS

Au jardin, c’est comme partout, on peut prendre des « risques » et on peut faire des erreurs.

Une des erreurs les plus communes est de vouloir démarrer trop tôt, semer et planter dés que le soleil commence à réchauffer la terre, alors qu’il est encore possible d’avoir des gelées.

Donc si on est pressé d’attaquer le jardinage, il faut essayer de se restreindre à semer ou planter ce qui ne risque pas de geler ou ce qui peut être protégé durant une période où la température peut encore descendre en dessous de zéro.

Personnellement je sème les petit pois au mois de février car ils ne craignent pas le gel et je plante les ails et les oignons en suivant.

J’ai une amie qui fait tout ça en janvier et une autre qui plante ses ails avant l’hiver, avant que le grand froid n’arrive.

À propos des ails plantées en automne, elles se récoltent à la même époque que celles plantées à la fin de l’hiver ; en juin/juillet. D’après ce que j’ai lu, elles sont plus grosses, mais elles se conservent moins longtemps que celles plantées plus tard.

En attendant de travailler en extérieur, on peut toujours entreprendre les semis en barquettes ou en pots dés le mois de février, afin d’être prêt pour planter dés que le gel ne sera plus une menace. Mais attention aussi de ne pas se lancer trop tôt non plus, car les jeunes plants peuvent devenir un peu trop à l’étroit dans leurs pots…

Revenons au potager extérieur. Je plante toujours mes premières pommes de terre aux alentours du 19 mars, date de la St Joseph, pour pouvoir en déguster dés le mois de juin. Bien-sûr, le risque de gel dés que leurs jeunes feuilles commencent à sortir de terre est toujours très réel. J’ai parfois fait ces pommes de terre sous un tunnel plastique, mais ces dernières années j’ai décidé de ne plus les couvrir. Je remonte simplement la terre autour après que les premières feuilles soient apparues. Et tout va bien si il gèle encore un peu, par contre je ne dois pas oublier.

Il me faut suivre la météo tous les jours pour ne pas être prise de vitesse par une petite gelée.

Cette année, j’ai un peu oublié et certaines pommes de terre ont un peu gelé jeudi dernier.

Est-ce que c’est grave ?

Oui et non. Les pommes de terre qui ont souffert du gel, vont refaire des feuilles, mais elles vont perdre du temps et elles devraient être moins productives. Par contre, maintenant, si je fais plus attention, elles devraient repartir et finalement produire leurs tubercules en même temps que celles plantées plus tard…

Mais j’ai intérêt de surveiller au moins jusqu’au 15 mai environ.

Du 23 avril au 13 mai, tous les jardiniers savent qu’il faut faire attention aux Saints de glace. Si il fait clair le soir, il se pourrait qu’il y ait encore un peu de gel durant la nuit à cette époque de l’année. Ceci est valable généralement pour tous ceux qui ne sont pas au bord de la mer ou dans le Sud du pays.

Que l’on soit traditionnel ou pas, les Saints de glace, correspondent à certains jours durant une période de l’année, fin avril et début mai, où les risques de gel sont avérés. L’atmosphère est encore souvent fraîche, le sol n’est pas encore assez chaud et si le ciel est dégagé le soir, il est encore possible d’avoir une pointe de gel durant la nuit.

Je ne vais jamais planter de tomates ou de poivrons en extérieur avant la mi-mai.

SEED EXCHANGE – ÉCHANGE DE GRAINES

ENGLISH

On Saturday, 15th April, I participated in a seed exchange in our village.

As part of a group pushing for local food resilience in our district community, this was one of the first events we organised.

We had no idea what the reaction would be in the village where this kind of exchange had never been organised. Besides, mid-April for a seed exchange is already a bit late, but we had to start somewhere.

Two persons, one of whom had already organised a plant exchange, had told me not to expect many people to be really interested. Or that they would come empty-handed to take what we gave without any desire to swap.

We took advantage of market day which occurs in the village centre every fortnight, to set up our table and the seeds we could exchange.

By the way, to do this kind of action in France, you have to apply to the town hall, and if you want to benefit from another event, it is better to talk about it with the other participants.

It was bitterly cold and windy, but it wasn’t raining.

We were able to talk to several people, including a young woman, newly arrived in our village in 2021. She came with a tomato plant in its little pot, while apologizing for not having much more to offer. A beginner gardener, she still had some seeds in her bag. We had a great chat with her. Visits to each other’s gardens will be arranged later in the season. She should come to our next event where there will also be workshops to talk about canning, in which she is very interested.

We gave seeds to others who didn’t bring anything, but were interested in our approach.

And then there were people who came by, who looked at us from a “distance”…

But in the end, we had a great morning and had some really nice encounters, all this in a small village of 800 inhabitants, where not many people have a vegetable garden any more.

After this beautiful moment, all I had to do was sow my new seeds. Fortunately, my garden is big and can still be enlarged… I am already dreaming of all the new wonderful vegetables that I will grow there, not to mention flowers and an aromatic plant.

FRANÇAIS

Le samedi 15 avril, j’ai participé à un échange de graines dans notre village.

Faisant partie d’un collectif pour la résilience alimentaire locale de notre communauté de communes, c’est un des premiers événements que nous organisions.

Nous ne savions absolument pas quelle réaction auraient les habitants du village ou ce genre d’échange n’a jamais été organisé. En plus mi-Avril pour un échange de graines, c’est déjà un peu tard, mais bon, il fallait bien commencer un jour.

Deux personnes, dont une qui a déjà organisé un échange de plantes, m’avaient dit de ne pas m’attendre à voir beaucoup de gens vraiment intéressés. Ou qu’ils allaient venir les mains vides pour prendre ce que nous donnions sans aucune envie de faire du troc.

Nous avons profité du jour du marché qui a lieu tous les quinze jours au centre du village pour installer notre table et les graines que nous pouvions échanger.

À propos pour faire ce genre d’action, il faut bien-sûr faire une demande en mairie et si vous voulez tirer bénéfice d’un autre événement, il est préférable d’en parler avec les autres participants.

Il faisait un froid de gueux avec beaucoup de vent, mais il ne pleuvait pas.

Nous avons pu échanger avec plusieurs personnes ce qui inclus une jeune femme, fraîchement arrivée dans notre village en 2021. Elle est venue avec un plant de tomate dans son petit pot, tout en s’excusant de ne pas avoir beaucoup plus à offrir. Jardinière débutante, elle avait quand même quelques graines dans son cabas. Nous avons super bien discuté avec elle. Des visites de nos jardins respectifs seront organisées un peu plus tard dans la saison. Elle devrait venir à notre prochain événement où il y aura aussi des ateliers pour parler de conserves, ce qui l’intéresse beaucoup.

Nous avons donné des graines à d’autres qui n’avaient rien amené, mais qui étaient intéressés par notre démarche.

Et puis, il y a des gens qui sont passés, qui ont regardé de « loin »…

Mais finalement nous avons passé une super matinée en ayant fait de vraies belles rencontres, tout ça dans un petit village de 800 habitants, là où finalement il n’en reste déjà plus beaucoup qui ont un potager.

Après ce beau moment, il ne me restait plus qu’à semer mes nouvelles graines. Heureusement, mon jardin est grand et peut encore être agrandi… Je rêve déjà de tous ces nouveaux légumes merveilleux que je vais y faire pousser, sans compter des fleurs et une plante aromatique.

RECYCLING FOR THE GARDEN – RECYCLER POUR LE JARDIN

ENGLISH

While some vegetables should be sown directly in the garden such as carrots, parsnips, beetroot or turnips, when the season is finally here, it is preferable to sow others, which need a lot of heat to germinate, in pots, such as tomatoes, peppers or aubergines. And then there are the majority of squashes, cucumbers or cabbages which also benefit from being sown in pots to be replanted later. Peas, beans and potatoes can be sown or planted directly in the garden like root vegetables.

Once you have either bought seeds or, better still, harvested your own, you will need containers in which to sow them.

If you buy seedlings, always keep the pots for reuse.

But that’s not all. Gardening goes well with recycling and you can benefit from all sorts of small containers for seedlings. There is absolutely no need to run to the garden centre to buy pots.

Since supermarkets are specialists in packaging, you might as well look at everything that has to go in the bin and see if it can be reused for gardening.

Yoghurt pots, for example, are great for individual seedlings or for transplanting young plants grown in trays. You will see on some websites that you can also use egg cartons, but your seedlings may dry out quite quickly because the egg boxes are a bit small. You will have to water more often and keep an eye on the humidity level. The same problem is valid for eggshells if you manage to break them properly to save the maximum amount of shells. You can also use tins, but beware of the sharp edge; and the bottom of plastic bottles, or juice or milk cartons… Plastic food trays, if they are deep enough (5/6 cm – 2 inches minimum), can also be used.

Once you have these containers, you need to clean them well and don’t forget to make holes in the bottom before using them.

The flatter trays can be collected to make trivets, as can the aluminium quiche dishes.

There are also other items that can be recycled to make pots for plants. Small cardboard tubes from toilet paper, for example, can be made into containers that will not only serve as pots, but can be planted with the seedling and will decompose as the season progresses.

Personally, I am lucky enough to know someone who used to work in a garden centre and who gave me lots of growing pots which would otherwise have gone in the bin, so I am set for a few years on that front…

On the other hand, I use a lot of supermarket trays to sow seeds before being able to transplant the seedlings into individual pots. I prefer thin polystyrene trays. I have had access to the ones made of thicker polystyrene from a fishmonger, but I have not found them to be as strong. The transparent containers used for the pastries are made of a thin plastic, so care should be taken when using them. Otherwise they are handy for making micro-greenhouses with their built-in lid.

If you don’t visit supermarkets often or not at all (good for you!), you can still get access to these containers by asking around.

The more seedlings you do, the more pots you need; my friends and neighbours know very well what to do with theirs… Anyone of them who buys seedlings gives me most of their empty pots and I often give them a few plants in return as I always have too many. Between gardeners, exchanges become natural.

FRANÇAIS

Alors qu’on devrait semer certains légumes directement dans le jardin comme les carottes, les panais, les betteraves ou les navets, lorsque la saison est enfin arrivée, il est préférable de faire des semis en pots pour d’autres qui ont besoin de beaucoup de chaleur pour germer tels que les tomates, les poivrons ou les aubergines. Et puis il y a la majorité des cucurbitacées, les concombres ou les choux qui bénéficient aussi d’être semés en pots pour être replanté plus tard. Les petits pois, les haricots, les pommes de terre seront semés ou plantés direct au jardin comme les légumes racines.

Une fois qu’on a, soit acheté des graines ou encore mieux, qu’on a récolté les siennes, il faut donc aussi des récipients pour y faire pousser ses graines.

Si vous achetez des plants, gardez toujours les pots pour les réutiliser.

Mais ce n’est pas tout. Le jardinage se marie bien avec le recyclage et on peut bénéficier de toutes sortes de petits contenants pour les semis. Il n’y a absolument pas besoin de courir à la jardinerie pour acheter des godets.

Sachant que les supermarchés sont spécialistes de l’emballage, autant regarder tout ce qui doit partir à la poubelle et voir si cela pourrait être au moins réutilisé pour le jardinage.

Ainsi les pots de yaourt, sont très bien pour les semis individuels ou pour transplanter les jeunes plants poussés en barquettes. Vous verrez sur certains sites internet qu’on peut aussi utiliser les boites à œufs, mais vos semis risquent de sécher assez vite car les loges ou sont placés les œufs sont un peu petites. Il va falloir arroser plus souvent en surveillant bien le taux d’humidité. Le même problème est valide pour les coquilles d’œufs si vous arrivez déjà à les casser correctement pour sauver le maximum de coquille. On peut aussi prendre des boites de conserves, mais attention au bord coupant, et le bas de bouteilles en plastique, ou celui des cartons de jus ou de lait… Les barquettes alimentaires en plastique, si elles sont suffisamment profondes (5/6 cm minimum), peuvent également être utilisées.

Une fois qu’on a ces contenants, il faut bien les nettoyer et ne pas oublier de faire des trous dans le fond avant s’en servir.

Concernant les barquettes plus plates, elles peuvent être collectées pour faire des dessous de pots, de même que les plats à quiche en aluminium.

Il y a aussi d’autres objets qui peuvent être recyclés pour faire des pots pour des plants. Les petits tubes de carton du papier hygiénique, peuvent être transformés en pots qui non seulement serviront de godets, mais en plus ils pourront être plantés avec le plant et ils se décomposeront au fur et à mesure de la saison.

Personnellement j’ai la chance de connaître quelqu’un qui travaillait dans une jardinerie et qui m’a donné des tas de godets qui partaient à la poubelle, donc je suis parée pour quelques années de ce coté là…

Par contre j’utilise beaucoup de barquettes pour faire mes semis avant de pouvoir transplanter mes petits plants en pots individuels. Je préfère les barquettes en polystyrène fin. J’ai eu accès a celles en polystyrène plus épais récupérées en poissonnerie, mais je ne les ai pas trouvées aussi résistantes. Les contenants transparents utilisés pour les viennoiseries, sont fabriqué avec un plastique un peu fin et il faut donc faire attention en les utilisant. Sinon ils sont pratiques pour faire des micro-serre avec leur couvercle intégré.

Si vous ne visitez pas les supermarchés souvent ou pas du tout (bravo!), vous pourrez quand même avoir accès à ces récipients en les demandant autour de vous.

Plus on fait de semis et plus on a besoin de pots ; mes amis et mes voisins savent très bien quoi faire des leurs… Parmi eux, tous ceux qui achètent des plants me donnent la majorité de leurs godets vides et je leur donne souvent quelques plants en échange car il est rare que je n’en ai pas en trop. Entre jardiniers, faire des échanges devient naturel.